Utiliser les microalgues pour filtrer l’air des villes. Un projet appliqué à la ville de Nantes

Dans le cadre de mon projet Bachelor j’ai décidé de travailler sur la filtration de l’air en axant mon travail sur les microalgues et leur grande capacité de filtration.

Travailler avec les microalgues offre l’opportunité de travailler sur le principe de d’économie bleue, la filtration de l’air par ces algues permet leur croissance, or les microalgues tel que la spiruline sont valorisable dans de nombreux domaines ( argo-alimentaire, pharmacetique, cosmetique, ect ).

Il existe des systèmes pensés pour leur culture, Les photobioréacteurs

Suite à me rencontre avec l’un des fabricants de photobioréacteurs, j’ai pu visiter leur laboratoire et en apprendre d’avantage.

C’est appareil son pensé pour produire en masse et donc alimenté par des bombonnes de dioxyde de carbone.

Pourquoi ne pas l’alimenter avec le dioxyde de carbone présent en grande quantité dans les espaces particulièrement pollués, les villes.

Le principe du projet

Les algues circulent dans les tubes de PMMA au centre, elles sont alimentées en air pollué par le haut de la structure pour le rejeter une fois filtré. Les algues peuvent ensuite être récoltées pour être vendues.

Sa place dans la ville

Filtrer l’air de toute une ville étant un projet surréaliste, l’idée ici est de se focaliser sur des zones particulièrement polluées de ville où beaucoup de personnes serons exposées. Les passants peuvent s’y asseoir, attendre et contempler l’image poétique et apaisante des bulles remontant aux travers les algues.

Le double usage de lumière

La lumière qui nourri les microalgues permet un éclairage publique.

L’emplacement de ce module dans les zones de passage permet donc de les rendre plus rassurante la nuit.

Ce projet étant relativement couteux, je souhaitais pouvoir proposer à la ville de Nantes de faire le test de son acceptabilité au près du publique. En proposant un premier et unique dispositif test dans le cadre du voyage à Nantes.